< Chemin morte tendre exil 1 >
Chemin morte tendre exil au soleil hispanique d’ivoire sablé morte en chemin qu’elle d’une anse perdue d’avance au creux des reins filous. Une chevaline esquisse d’abrutis en pâture lui valut d’hisser l’ire aux blêmissants ventrus. Georges n’y cru point d’un as qu’il ira au soleil se dorer l’espadon. Mortel ennui très cher, mortel désespoir en noires flaques effaçables. Giboulées d’hivernale très à quatre feuille sali rougeoyant d’anémone et crevure sibyllin. Argentique espoir seul qui m’avait permis l’hydre au chevet d’une taupe attraper les cinq mains.
Ainsi passèrent les jours et l’ivoire amoindri chercha à quatre têtes se hisser au gratin. J’ai toujours par chez moi une gigantesque tête au mur de morte chasse. J’ai toujours au creux d’un mortel espadon grec cherchant l’Annapurna. Elle avait cru un jour pouvoir m’attraper sec et me rejeter bien comme un vieux raisin sec. Elle avait cru un jour se passer de mes bras et cracher son amour à l’aide d’un bazooka. J’ai toujours au pain sec un cœur renfermé dru qui s’excite en ses aises.
Acrimonie salée qu’il a plus tôt perdu son objet rétractile.
Ainsi passèrent les jours et l’ivoire amoindri chercha à quatre têtes se hisser au gratin. J’ai toujours par chez moi une gigantesque tête au mur de morte chasse. J’ai toujours au creux d’un mortel espadon grec cherchant l’Annapurna. Elle avait cru un jour pouvoir m’attraper sec et me rejeter bien comme un vieux raisin sec. Elle avait cru un jour se passer de mes bras et cracher son amour à l’aide d’un bazooka. J’ai toujours au pain sec un cœur renfermé dru qui s’excite en ses aises.
Acrimonie salée qu’il a plus tôt perdu son objet rétractile.
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