< Ecce homo >
lorsque le visage atteint une entièreté, une perfection. une forme trop figée, le désir s'y dirige, les traits sont très uniques.
il n'y a pas d'âge pour qu'il y ait des visages. surfaces conservées, éternité de l'instant t.
la mort toujours fait son oeuvre et les oeuvres par-dessus. la mort cernée, et son strict contraire. une dialectique de l'inscription, l'homme écarté entre deux parois s'expose aux yeux de tous.
des images, des images.
quel est ton choix, quelle est ta préférence, ton petit cheval sur qui tu mises ta vie. t'as tout à perdre, la joie de jouer, tu restes là, attends les résultats.
tu fais, tu fais, et projettes, et tu crées. des choix de vie, des marques de soi, toujours le même manège, film en boucle je dis stop --
refrain entre deux couplets, on respire et balance. plongée en apnée, une caverne musée, stop. les couplets s'enchaînent et on ne les retiens pas, le refrain s'ancre.
silence. vide. des lames de son qui circulent dans la pièce, non. silence. mise en boîte, mise en boîte, la mort partout, la vie, aussi, il dit : dialectique, l'homme écarté entre deux parois s'expose aux yeux de tous. stop.
ouverture du cube : croix.
les papillons s'envolent. feu et métamorphose.
[cube blanc dedans noir, les papillons s'envolent dans le blanc]
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home