< l'éternel chérubin >
Sébastopol ironique drue septentrionale version d’ivoire
Creuse les reins d’immensité cavhiverneuse
Louchante aspérite froide au bisextile printemps salé tu pleures sans larmes en mémoire courte
(Vois là-bas il ne sait pas ne comprend pas mais il le vit)
Haïr les cendres incendiées par les bûcherons d’Aztèques ?
Ou laisser les enfants claironer au vent d’hiver qui luit ?
(Derrière la machine le schéma le moteur, mais derrière l’homme ? — son âme n’explique rien)
Baptistère enfanctile amer, loupiote les réglisses d’aménite
(Aucun délire chez l’être conscient, et nul surréalisme)
Bouffe à vent croupion hier en goulée fraîche avare
Mouline à bien y met salive en huile — flotte avec les îles
Durite à cuire arrogant cérumène touffu
Fallacieux goître en huitre, et bouche en terre, nœud en lice
Kilos de sphynx kasher, en plâtre de plastique
Tituber seul en piste et mouche en huit
Des pommes pas cuites, des pieux en fuite
Mollesse de l’accoutumée guérite
(Je comprends tout, dit-il, mais qu’est-ce que je m’ennuies
Et quand je ne comprends rien, l’angoisse est ma seule compagnie)
Giclée rose de chewing-gum mal fondu au bout d’une cuillère en vieux bois sans odeur
(Rien n’est là avant, ce qui s’échappe fait rire, tout le monde comprend, sait bien, ne sait rien, s’ennuie et s’angoisse pour la vie)
Filet de cabillaud au cerveau d’enfant docile — trois craies !
Mouche tes morts ou t’avales tes endives !
Dis, papa, c’est quoi une endive ?
C’est un légume mon chéri
La grande endive flotte dans la nuit rayonne éclairée d’une lumière externe qui ne vient de nulle part
(« C’est ab-so-lu-ment n’importe quoi : c’est nul » ; « ça ne signifie rien, ou je comprends trop bien »)
Celui qui parle qui dit n’est pas mais bien mieux pire que ça en camisole sanglé le corps droit pas bouger
(Des phrases construites, les corps en fuite, le grand crayon qui martèle et chasse jusqu’aux esprits)
Tout-l’monde-a-droit-à-son-traumatisme (bis), Tout-l’monde-a-droit-à-son-traumatisme (bis)
Les manifestations le jour, les révolutions la nuit, toujours les bruyants dépassés par ce qu’ils veulent implorent scandent et pleurent en voyant s’éloigner, pas ma faute, pas ma faute
Fichtre d’espace minuscule au crépuscule un arriviste s’allume son cigare de bambou
Regarde la scène de l’œil au coin, long manteau de chevalier blème silencieux, tout rapporter tout dire, et sourire satisfait méchant
La culture, mais, mais… la culture !
Sur l’air d’une chanson populaire d’un gentil chevelu glabre chemise souriant des années soixante-dix
Non identifié ça dit : Exprim’ images t’as dans l’cerveau, jett’-les sur l’mur qu’on puiss’ les voir, c’est tout c’qu’il y a à savoir, le rest’ n’est qu’cinéch’ mystique pour négros…
Ainsi poirantant sur le vif, du sujet chrysanthème à l’escarcelle d’ivoire
Maudit l’éternel chérubin, qui sifflotant s’en va-t-il loin
Creuse les reins d’immensité cavhiverneuse
Louchante aspérite froide au bisextile printemps salé tu pleures sans larmes en mémoire courte
(Vois là-bas il ne sait pas ne comprend pas mais il le vit)
Haïr les cendres incendiées par les bûcherons d’Aztèques ?
Ou laisser les enfants claironer au vent d’hiver qui luit ?
(Derrière la machine le schéma le moteur, mais derrière l’homme ? — son âme n’explique rien)
Baptistère enfanctile amer, loupiote les réglisses d’aménite
(Aucun délire chez l’être conscient, et nul surréalisme)
Bouffe à vent croupion hier en goulée fraîche avare
Mouline à bien y met salive en huile — flotte avec les îles
Durite à cuire arrogant cérumène touffu
Fallacieux goître en huitre, et bouche en terre, nœud en lice
Kilos de sphynx kasher, en plâtre de plastique
Tituber seul en piste et mouche en huit
Des pommes pas cuites, des pieux en fuite
Mollesse de l’accoutumée guérite
(Je comprends tout, dit-il, mais qu’est-ce que je m’ennuies
Et quand je ne comprends rien, l’angoisse est ma seule compagnie)
Giclée rose de chewing-gum mal fondu au bout d’une cuillère en vieux bois sans odeur
(Rien n’est là avant, ce qui s’échappe fait rire, tout le monde comprend, sait bien, ne sait rien, s’ennuie et s’angoisse pour la vie)
Filet de cabillaud au cerveau d’enfant docile — trois craies !
Mouche tes morts ou t’avales tes endives !
Dis, papa, c’est quoi une endive ?
C’est un légume mon chéri
La grande endive flotte dans la nuit rayonne éclairée d’une lumière externe qui ne vient de nulle part
(« C’est ab-so-lu-ment n’importe quoi : c’est nul » ; « ça ne signifie rien, ou je comprends trop bien »)
Celui qui parle qui dit n’est pas mais bien mieux pire que ça en camisole sanglé le corps droit pas bouger
(Des phrases construites, les corps en fuite, le grand crayon qui martèle et chasse jusqu’aux esprits)
Tout-l’monde-a-droit-à-son-traumatisme (bis), Tout-l’monde-a-droit-à-son-traumatisme (bis)
Les manifestations le jour, les révolutions la nuit, toujours les bruyants dépassés par ce qu’ils veulent implorent scandent et pleurent en voyant s’éloigner, pas ma faute, pas ma faute
Fichtre d’espace minuscule au crépuscule un arriviste s’allume son cigare de bambou
Regarde la scène de l’œil au coin, long manteau de chevalier blème silencieux, tout rapporter tout dire, et sourire satisfait méchant
La culture, mais, mais… la culture !
Sur l’air d’une chanson populaire d’un gentil chevelu glabre chemise souriant des années soixante-dix
Non identifié ça dit : Exprim’ images t’as dans l’cerveau, jett’-les sur l’mur qu’on puiss’ les voir, c’est tout c’qu’il y a à savoir, le rest’ n’est qu’cinéch’ mystique pour négros…
Ainsi poirantant sur le vif, du sujet chrysanthème à l’escarcelle d’ivoire
Maudit l’éternel chérubin, qui sifflotant s’en va-t-il loin
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home